Publié dans Société

Détérioration de l'état de la fille de Dodol - La Police s'exprime

Publié le jeudi, 16 janvier 2025

Après l'agression sexuelle et les sévices endurés à cause de la tyrannie de son propre père - connu sous son nom d'artiste de Dodol - l'état clinique de la jeune femme de 33 ans aurait empiré ces dernières heures, selon des sources. Son père lui avait donné des coups de couteau dans différents points du corps, la partie intime incluse. Cette barbarie découlerait de la découverte par le père de famille incestueux, et d'une jalousie maladive et légendaire, de la soi-disant « infidélité » de sa fille.

A noter que la jeune femme est actuellement hospitalisée dans un grand centre de soins de la Capitale, selon une source émanant du service de Police en charge de l'enquête sur cette affaire. "Et pourtant, la jeune femme a pu bien encore s'exprimer lorsque nous l'avions enquêtée deux jours auparavant. Mais nous n'étions plus informés de la suite car ayant été dessaisis de l'affaire", explique cette source policière.

En attendant, afin d’obtenir une quelconque confirmation, rappelons que Dodol est le chef d'une formation musicale dont ses deux filles constituent, entre autres, les piliers : l'une en est la claviériste, l'autre bassiste. Cette sale affaire a débuté depuis que Dodol, également connu comme étant un ex-footballeur, et les siens se sont établis en France puis à La Réunion. C'est à l'étranger que Dodol, actuellement incarcéré à Tsiafahy, a commencé à abuser de ses deux filles, provoquant ainsi une crise cardiaque chez son épouse qui mourut après cette dure épreuve. Du coup, l'accusé a pris ses filles comme ses partenaires, situation ayant occasionné une rivalité entre celles-ci. Une rivalité qui a poussé l'une d'elles à fuir la maison paternelle, et l’autre à vivre désormais seule avec leur père. C’est cette dernière que le chef de famille aurait surpris l'avoir trompé avec un autre homme qui a piqué sa colère au point d'attenter à la vie de sa fille. Mais ses hurlements, s'échappant de leur appartement à Ampasamadinika, ont alarmé leurs voisins qui de suite ont appelé la Police pour arrêter Dodol sur le champ.

 

F.R.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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